Posté le 26/12/2016
Echos de Léo Du sang neuf
C’était envisagé depuis quelque temps désormais. Pour aborder la deuxième partie de saison dans les meilleures conditions et afin de se donner les moyens de rebondir au plus vite, le BFC apportera une ou deux retouches à son effectif. Avant le match attendu contre Nancy, le mercato bisontin sera donc à surveiller.
Et de la bonne humeur. Il est des signes qui ne trompent pas. Autour de leur entraîneur, en vacances et donc détendu, les joueurs de la capitale franc-comtoise ont semblé heureux d’interrompre, de façon précoce ce lundi matin, les festivités de Noël. Joyeuses, les retrouvailles augurent néanmoins d’un travail assez poussé, lors des jours à venir.
Comme au bon vieux temps. Entraînement matinal, préparation étudiée, Hervé Genet s’est rappelé à ses bons souvenirs. Le coach bisontin a d’ailleurs profité, ces derniers jours, pour se briefer avec son ancien compère Sandy Guichard qui, en matière de préparation physique, en connaît un rayon. Complices, les deux hommes ont échangé sur le menu qui sera proposé aux joueurs. Ces derniers apprécieront, en deuxième partie de saison.
Blindé jusqu’à fin février. Le travail inaugural n’a évidemment pas qu’une simple vue à court terme, avec la venue de Nancy. Prioritaire, l’objectif est de tendre vers une préparation physique maximisée pour les prochaines semaines, décisives, en championnat. Jusqu’à fin février, et en fonction de la météo bien sûr, le BFC ne s’arrêtera pas. L’entrée en lice en Coupe de Franche-Comté, devant le Racing, a été avancée au dimanche 12 février (14h).
Votre poids en chocolat. Certains ont paru légèrement soucieux avant de passer vers la traditionnelle pesée de Monsieur Genet, a priori moins intransigeant que Frédéric Hantz qui, du côté de Montpellier, a infligé à ses joueurs 1€ d’amende par… gramme pris pendant les fêtes. Le message « d’attention » vaut quand même rappel à l’ordre pour ceux (trop) qui ont profité.
Les absents ont toujours tort. La reprise ne s’est pas effectuée au complet ce lundi matin. Mais il y avait quelques bonnes raisons. Nicolas Pesenti est par exemple retenu par le travail. Idem pour Rachid Rahal. D’autres garçons, comme Yohan Crolet ou Anthony Visiedo, ont dû déclarer forfait en raison d’un état grippal. Tous ces absents savent qu’ils devront cravacher.
M.C.